[Candidature] Samelio

L'orage faisait rage et dans les rafales de vents, dans la puissance des vagues, résistant à la tempête infernale du moi de Flovor, Le Twans'poteuw, commandé par un capitaine ayant pourchassé le célèbre pichon de Silvosse « Maubuisdik ».
Dans les cales du bateau, parmi les aventuriers apeuré par les craquements
sinistre de la coque, une femme était allongée sur un hamac, son mari
la tenant par la main, elle attendait un enfant, ils étaient pauvre et
cet enfant allait leur poser un problème, il avait donc malheureusement
décidé de l'abandonner devant une maison du port de Madrestam.
La tempête s'était calmée et le bateau, maintenant amarré au port de Madrestam, avait résisté à la tempête.

* * *

Le lendemain, des cris incessant se faisait entendre dans tout le port, un
enfant était allongé devant la fontaine, et les habitants, trop occupé
à réparer leurs maisons ravagées suite à la tempête, ne se souciaient
même pas de l'enfant. Un couple passant par là le vit, criant famine.

Ecaflipette: *Ramasse l'enfant* Tiens mais que fait tu ici toi? Tu ma l'air d'avoir faim.
Pandawa: Mais que fait-il ici, dans ce froid? Les gens d'ici sont-ils sans cœur?
Ecaflipette: Ramenons-le chez nous et adoptons le, nous qui voulions avoir un enfant.
Pandawa: C'est une excellente idée.

* * *

L'enfant grandit auprès de l'écaflipette Myria et du Pandawa Onomik qui étaient issu de la famille Navar, une famille riche du port de Sufokia. Ancien pêcheur, Onomik appris au jeune garçon l'art de la pêche tandis que Myria experte de la cuisine au foyer l'appris à cuisiner comme un chef.
Il adorait lire et écrire, à l'âge de 10 ans, il avait écrit son premier
livre de 100 page qui s'intitulait « Le vent soufflant dans les voiles
».

Quand un jour, à l'age de 16ans, il rentrait à la maison et vit son père tenant Myria dans les bras, elle était tombée fort malade, d'une maladie encore inconnue, une semaine après, elle mourut.
Onomik, déprimé, noyait sa souffrance dans l'alcool et un jour, quitta la maison, on ne le revit jamais plus.

Devant cette déchéance, il partit, lui aussi, vers un endroit ou il aura plus
de « chance ». Il pris le strict minimum ( Donc quelques provisions et
quelques livres )

* * *
Exténué, à bout de force, le ventre creux, il arriva, presque mort, au port de Madrestam.
Il pensait que tout cela allait enfin se terminer, mais il se trompait,
il dut mendier pendant 2 mois, il dormait chaque nuit dehors ou, quand
il avait de la chance, dans les cales d'un bateau.
Mais un jour, alors qu'il avait dormit dans un bateau de pêche :

Homme mystérieux: Que fait tu ici, tu ne sait pas que ce n'est pas un endroit pour les enfants de ton âge ici?
L'enfant: ….
Homme mystérieux: Tu me semble mal en point. Viens!

Le jeune homme le suivait, de toute façons il n'avait pas le choix.
L'homme en question était un capitaine de navire et dit au jeune homme qu'il
venait de dormir dans un navire exceptionnel appelé le Twans'poteuw.
Il s'occupait de lui comme sont propre fils alors qu'il avait déjà une
fille, elle était d'ailleurs marrante mais très timide, elle avait des
cheveux roux.
Un jour, après avoir récupéré toute ses force, il
laissa un mot et parti sans même savoir le nom de celui qui l'avait
recueillit.

* * *

Il atteignit avec beaucoup plus de facilité la ville d'Astrub.
Là-bas, il fit la rencontre d'un Crâ expérimenté qui lui apprit l'art
du tir à l'arc et à l'âge de 19ans, il décida de se choisir la
discipline Crâ.